Cible : Grand Public
Cible : ExpertCes journées de travail visent à interroger l’incertitude cartographique selon quatre approches et questionnements complémentaires :
1) la première interroge les espaces cartographiés « non déterminés », « marginaux » (espaces post-conflits, en « déshérence », « non-lieux », « antimondes » etc.) dont les fonctions ne sont pas/plus définissables ou interprétables sur des cartes.
2) la deuxième entrée questionne l’articulation des deux médiums que sont l’image cartographique et la parole enquêtée, en prenant en compte les émotions sous-jacentes, souvent invisibles.
3) la troisième approche mobilise la dimension métaphorique de la carte et son rapport avec la multiplicité des pratiques cartographiques : alors que la carte est un artefact très marqué culturellement, il est devenu protéiforme, numérique, participatif, narratif, iconographique, critique, radical etc.
4) Enfin, le dernier point rejoint l’angoisse cartographique du « vide », du « trop-plein » ou des données erronées, soit de la « non-connaissance », de la « sur-connaissance » et de l’inexactitude d’un espace cartographié.
Vous trouverez tous les détails - cadre des réflexions, programme détaillé des deux jours - sur le site du laboratoire MIMMOC, co-organisateur de l’évènement avec le laboratoire MIGRINTER.
Ces journées sont ouvertes à toutes les personnes intéressées par ces questionnements cartographiques : n’hésitez pas à diffuser l’information !
